Depuis plusieurs jours, des vidéos insoutenables en provenance de la zone aurifère de Kouri Bougoudi, dans le Tibesti, circulent sur les réseaux sociaux. Ces images, d’une brutalité inqualifiable, révèlent des scènes de violence extrême et mettent en lumière des violations massives des droits humains. Ces faits, qui devraient susciter une vague d’indignation unanime, peinent pourtant à mobiliser certaines sphères de la société et des autorités.

Alors que des voix courageuses, issues de la société civile et de certains mouvements de défense des droits humains, se lèvent pour dénoncer ces abus, d’autres adoptent une posture de mutisme inquiétante. Ce silence, volontaire ou non, alimente une culture de l’impunité et interroge sur les priorités réelles des décideurs.

Depuis plusieurs jours, des vidéos d’une violence extrême, enregistrées dans la zone aurifère du Tibesti, à Kouri Bougoudi, circulent sur les réseaux sociaux. Ces images choquantes illustrent une violation flagrante des droits humains qui devrait susciter l’indignation de tous : autorités, élites et société civile.Cependant, un phénomène préoccupant se dégage : si certaines organisations et individus réagissent rapidement pour condamner certaines violences, d’autres restent étrangement silencieux face à ce drame. Cette différence de traitement soulève une question inquiétante : pourquoi une telle indifférence face à des atrocités aussi graves ?Le silence de certaines voix, notamment dans les milieux politiques et civils, interroge sur les raisons profondes de cette réaction différenciée, et sur les véritables motivations de ceux qui choisissent de ne pas prendre position. Une réflexion s’impose sur la manière dont ces événements sont perçus et sur l’impact de cette absence de réprobation dans un contexte où les droits fondamentaux devraient primer.#Tchad

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