Dans la nuit du 15 au 16 janvier 2025, un incident tragique a secoué la communauté d’Amtoukouin : une jeune fille de 20 ans a été victime d’un viol. Cet acte ignoble a suscité une vague d’indignation parmi les autorités et la population, mettant en lumière les violences croissantes faites aux femmes au Tchad.
En réponse à cet événement, le Ministère de la Femme et de la Petite Enfance a immédiatement mobilisé des ressources pour venir en aide à la survivante. Des équipes ont été dépêchées sur le terrain pour offrir un soutien psychosocial et médical.
Le ministère a également assuré que l’assistance à la victime se poursuivra, soulignant son engagement envers la protection des droits des femmes et des filles.
Le Ministère suit de près les procédures judiciaires en cours, ayant rencontré les autorités compétentes pour veiller à ce que justice soit rendue.
Dans un communiqué publié sur leurs réseaux sociaux, les responsables expriment leur indignation face à ces actes de violence, appelant les communautés et tous les acteurs concernés à s’unir pour mettre fin aux violences basées sur le genre.
« Une équipe du Ministère de la Femme et de la Petite Enfance est descendue sur le terrain ce jour pour apporter son appui à la jeune fille victime de viol », peut-on lire dans le communiqué. Ce message témoigne de la détermination des autorités à accompagner la survivante et sa famille jusqu’à ce que justice soit faite.
Les violences faites aux femmes sont un fléau qui nécessite une réponse collective. Le ministère encourage les membres de la communauté à dénoncer de tels actes et à soutenir les victimes. La sensibilisation et l’éducation sont des outils essentiels pour changer les mentalités et prévenir ces atrocités.
Alors que le Tchad fait face à cette crise, l’engagement du gouvernement et le soutien des organisations civiles sont cruciaux pour bâtir un avenir où les femmes et les filles peuvent vivre en sécurité, sans crainte de violence ou d’abus. La lutte contre ces violences doit être une priorité pour tous.
